Veille Hebdomadaire du 27 septembre au 1er octobre #SantéGuyane – Cancer/SantéMentale/IVG/Covid19

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Veille d’information hebdomadaire de l’ORSG-CRISMS

Veille du 27 septembre au 1er octobre 2021

 

Interruptions volontaires de grossesse : une légère baisse du taux de recours en 2020

« En 2020, 222 000 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été enregistrées en France, ce qui représente une baisse d’environ 4 % par rapport à 2019, principalement observée en métropole. La pandémie de Covid-19 et les mesures prises pour limiter sa diffusion ont eu un impact sur les conceptions durant le premier confinement, entraînant la diminution des naissances observées en 2020, et aussi celle des IVG. Le taux de recours diminue en France métropolitaine : en 2020 il est de 14,9 pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans, contre 15,6 ‰ en 2019. Dans les départements et régions d’outre-mer (DROM), il est quasiment stable : 28,4 ‰ en 2020, contre 28,5 ‰ en 2019.

L’année 2020 se distingue par une baisse marquée du nombre des IVG réalisées dans les établissements de santé (154 000 contre 170 000 en 2019), tandis que les IVG médicamenteuses hors établissement ont augmenté au même rythme que les années précédentes (67 800 contre 62 000 en 2019). 72 % du total des IVG sont médicamenteuses, qu’elles soient réalisées en établissement ou non.

Les écarts régionaux perdurent, les taux de recours allant du simple au triple selon les régions. En métropole, ils varient de 11,4 IVG pour 1 000 femmes en Pays de la Loire à 21,7 IVG en Provence-Alpes-Côte d’Azur. La Corse a vu son taux de recours baisser plus que les autres régions, et aucune baisse n’a été constatée dans les DROM, où les taux se maintiennent ou excèdent les taux relevés en 2019, dépassant 39 ‰ en Guadeloupe et en Guyane. » [Résumé site web]

 DREES (consulté le 28 septembre 2021)

 

Impact du Covid-19 sur la santé mentale

« Étant donné l’impact notable de la crise sanitaire du Covid-19 sur la santé mentale et l’aggravation des vulnérabilités, les recommandations du HCSP pour limiter l’impact de cette crise sont, d’une part, spécifiques par populations (période péri-natale, enfants, étudiants, personnes âgées, professionnels de santé, milieu du travail, personnes vivant avec un trouble psychique…) et, d’autre part, générales. » [Résumé site web]

 HCSP (consulté le 29 septembre 2021)

 

Guyane : L’offre de soins en Guyane poursuit sa restructuration

« Dans la continuité du travail entamé avec le projet du CHRU de Guyane, le territoire planifie l’organisation de son système de santé pour les années à venir. Dans cette lancée, ce sont cette fois-ci les centres de santé de Maripasoula, Grand-Santi et Saint-Georges qui sont concernés. Actuellement définis comme Centres Délocalisés de Prévention et de Soins (CDPS), ils ont vocation à se transformer en hôpitaux de proximités avec l’émergence du CHRU. Le ministre des Outre-mer a assuré du soutien de l’Etat pour le développement des infrastructures hospitalières pendant tout son déplacement. Point sur les centres délocalisés qui sont amenés à évoluer. » [Résumé site web]

 Outremer360 (consulté le 29 septembre 2021)

 

Agir pour sa santé contre les risques de cancer

« 40 pages de conseils de prévention, des astuces et bons plans pour être en bonne santé et le rester. Il s’agit d’une édition unique d’un magazine dédié à la prévention des cancers : chiffres clés, conseils pratiques, repères de consommation et avis d’experts pour aider chacun d’entre nous dans l’adoption de ces gestes au quotidien pour prendre soin de notre santé. » [Résumé site web]

 INCA (consulté me 29 septembre 2021)

 

Idées suicidaires chez l’enfant et l’adolescent : repérer, évaluer et orienter la prise en charge

« En France, le suicide est la deuxième cause de mortalité chez les jeunes. Les tentatives de suicide ont un retentissement psychologique et social très lourd, en plus des blessures et de la potentielle invalidité à long terme auxquelles il faut faire face. Pour tenter de prévenir ces événements, il est important de ne pas banaliser les idées suicidaires et d’y apporter une écoute attentive pour trouver une réponse rapide et adaptée. La HAS publie des recommandations de bonne pratique pour les professionnels chargés de repérer, évaluer et orienter les enfants et adolescents pouvant présenter un risque suicidaire à court, moyen ou long terme. » [Résumé site web]

 HAS (consulté le 30 septembre 2021)