Veille Hebdomadaire du 15 au 19 janvier #SanteGuyane – PromotionSante/CHU/DonneesSante

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Veille d’information hebdomadaire de l’ORSG-CRISMS

du 15 au 19 janvier

Guyane : Atteindre tous les publics grâce aux « jeunes-ressources »

« Le planning familial de la collectivité territoriale de Guyane propose une formation de quatre jours à des lycéen·ne·s volontaires pour qu’il·elle·s puissent faire vivre des groupes de parole sur la sexualité dans leur établissement scolaire. Le dispositif Jeunes‑Ressources en genre et santé sexuelle existe depuis 2017 et il est soutenu par le rectorat. Les jeunes concerné·e·s en retirent un bénéfice sur le plan individuel notamment en acquérant plus de facilité à s’exprimer sur la sexualité. Cependant, d’autres actions doivent être menées pour qu’il·elle·s parviennent à jouer leur rôle d’ambassadeur·rice auprès de leurs camarades. » [Résumé site web]

 Santé Publique France (consulté le 15 janvier 2024)

 

Santé en Guyane : Un 3ème séminaire sur le projet de création d’un CHRU en 2025

« Le centre hospitalier régional universitaire devrait voir le jour le 1er janvier 2025. Un séminaire était organisé par la Collectivité territoriale vendredi dernier. Il avait pour objectif de rassembler toutes les parties prenantes autour de deux questions « Que veut dire débuter un CHRU ? » et « Qu’entendons-nous par débuter le dispositif CHRU en 2025 ? Afin de recentrer les débats sur les bases d’un lancement d’un CHRU, la Collectivité de Guyane a permis à deux chercheuses guyanaises, Ericka Cosset et Laetitia Lecante, toutes les deux docteures en biologie de participer à ce séminaire. Précisions avec notre partenaire Radio Peyi. »

 Outremer360 (consulté le 16 janvier 2024)

 

Fédérer les acteurs de l’écosystème pour libérer l’utilisation secondaire des données de santé [Rapport]

 « L’utilisation primaire des données de santé renvoie à la collecte de données à l’occasion de la prise en charge des patients, quand l’usage secondaire désigne l’utilisation de ces données pour d’autres finalités comme la recherche et l’innovation ou le pilotage ou encore l’amélioration de la qualité des soins. Ainsi, la conception d’algorithmes pour mieux détecter des pathologies, la réalisation d’études pour mesurer les effets en vie réelle de médicaments ou encore l’élaboration de tableaux de bord pour piloter une crise sanitaire s’appuient sur des usages secondaires des données de santé. La mission a par ailleurs retenu la définition large des données de santé adoptée par le règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD), intégrant dans son périmètre les données médicales, les données médico-administratives mais aussi les données de recherche en santé.

La mission a tout d’abord dressé un état des lieux de l’utilisation secondaire des bases de données en santé. Elle émet ensuite des recommandations destinées à alimenter une stratégie ambitieuse d’utilisation secondaire des données de santé, permettant d’accélérer notablement l’accès aux données de santé en France, de favoriser le déploiement de l’intelligence artificielle et de contribuer à l’amélioration de la compétitivité française en termes de recherche et d’innovation. » [Extrait rapport]

Annexes

 ministère de la Santé (consulté le 19 janvier 2024)